Dimanche 18 avril 2010 à 23:56

http://elle.cowblog.fr/images/photolesbiennecouleur7.jpgC'est arrivé comme ça, quelque chose qu'on ne souhaite pas mais qui arrive quand même. Je ne voulais pas de tout ça, je sais pas si aujourd'hui je le veux réellement mais c'est là, et je ne peux rien faire contre.
Un jour comme les autres elle m'avoua qu'elle m'aimait, et moi je ne savais pas quoi faire, quoi dire. Comment pouvait elle m'aimer alors que j'étais une fille comme les autres ?
Elle, elle me trouvait différente, et j'avais l'impression qu'elle m'aimait plus que de raison. J'avais beau lui dire de chercher quelqu'un d'autre, quelqu'un de mieu que moi, quelqu'un qui l'aimerai en retour, elle ne voulait rien entendre.
Allonger près d'elle, jamais je n'aurai cru pouvoir l'aimer.
Plus le temps passait et plus on se rapprochait. Je ne voulais toujours pas d'elle mais très vite je ne voulais plus de personne d'autre, car pour moi c'était comme la trahir.
Un jour, sans vraiment le vouloir, je succomba à ses baisers, et bientôt je pu m'en passer. J'ai appris à l'aimer peu à peu, à l'accepter peu à peu. Elle fut patiente et devint la personne la plus importante de vie sans vraiment sans rendre compte. Je l'aime, c'est sûr, mais tout cela et des fois bien trop dur à vivre, mais dans ses bras j'oublie tout et je devient la personne la plus heureuse en ce monde.
Tout ça parce qu'elle m'aime et que je l'aime en retour...

Dimanche 18 avril 2010 à 23:37

http://elle.cowblog.fr/images/IMG0498.jpgJ'ai toujours adoré ma solitude, le silence. Je m'allongeais sur le sol froid et contemplais les étoiles bercé par le seul souffle du vent. Je n'avais pas l'impression qu'il me manquait quelque chose, pour moi tout était pour le mieu, je n'avais besoin de rein d'autre, juste moi et le vide autour.
Un jour, sans y prendre garde, j'ai rencontré quelqu'un, je l'ai rencontrer, elle, Julie. Elle était belle, elle l'est toujours. Je ne voulais pas vraiment la rencontrer. Je l'avais juste aperçu, un jour, au coin d'une rue. Mes yeux se sont égarés sur son corps, mais ils ne diséraient pas donner suite à ce plaisir.
Mais Julie, elle aimait les autres, elle aimait leurs bruits, leur présence, leur agitation. Elle se plaisait à rencontrer de nouvelles personnes au coin d'une rue, elle aimait découvrir leur vacarme et leur faire découvrir le sien. Alors elle vint à ma rencontre et sans m'en rendre compte je la laissais découvrir ce qu'était moi.
Elle fut stupéfaite de mon silence, de ces long instant où je restais muet écoutant le silence ambiant comme on écoute la musique. Elle, elle faisait beaucoup de bruit, tout le temps, elle ne pouvait rester silencieuse.
Mais peu à peu je me mis à l'accompagner dans son vacarme, et elle se taisait pour profiter de mon silence. Je n'étais plus seul, et finalement cela me plaisais. Et lorsque je m'allongeais sur le sol froid, ce n'était plus pour comptemplais le ciel, mais c'était pour mieux aprécier sa beauté. Je pouvais rester des heures à la comtempler, à l'écouter sans faire un bruit.
Mais un jour, pensant tout connaître du silence, elle ne le supporta plus et partit. Au début, je pensais enfin retrouver le calme de ma solitude, mais très vite je me rendu compte que le silence m'énerver, que j'avais besoin du bruit, qu'elle me manquait plus que je n'aurai jamais imaginer. Alors je me mis à hurler son nom pour qu'elle revienne, "JULIE". Mais jamais elle ne m'entendait tant tout ce vacarme.
Aujourd'hui je dois vivre avec cette solitude qui m'exaspère, je ne supporte plus le silence et le comble des bruits factisses que les autres déversent sur moi sans vraiment le vouloir. Et je ne rêve que d'une chose, que ma Julie revienne avec tout son vacarme et qu'elle m'apprenne à être bruyant...

Jeudi 15 avril 2010 à 0:41



Tout est dit... Sans commentaire...

Jeudi 15 avril 2010 à 0:12

http://www.univers-l.com/photos/photo_lesbienne_noir_blanc85.jpg

Je suis amoureuse. Qui ? Moi ? C'est moi qui dis ça sans le moindre remords ?
J'ai souvent été amoureuse, un vraie coeur d'artichaut, tombant sous le charme d'une nouvelle boite de maïs chaque jour.
Mais là c'est différent, je l'aime depuis longtemps et mon corps ne peut se passer du sien. Elle est belle est intelligente, tout ce que l'on peut désirer. Je l'aime comme on aimerai être aimer, comme on se sent incapable d'aimer.
Au début, je ne voulais pas lui dire, parce qu'elle était jeune et moi plus agée, mais surtout parce que c'est la meilleure amie de ma petite soeur...
Et puis le temps passa, le simple coup de coeur se transforma peu à peu en amour véritable, alors je me décida à tout lui dire. Elle ne me cru pas tout de suite et voulu très vite que je dise à ma soeur sans se douter que ça serai l'enfer après. Elle ne ressentait rien de plus que de l'amitié pour moi, mais était touchée par la sincèrité de mes sentiments.
Les jours défilèrent et ma soeur nous haissait de nous rapprocher. Il ne se passait rien entre nous, mis à part quelques baisers volés. Mais elle apprécier ma compagnie qui la réconforter et elle aimer dormir dans mes bras, se sentait protéger.
Tout ça devenait peut être un peu trop malsain, je l'aimais de plus en plus, elle s'attachait de plus en plus à moi, mais certifiais qu'il n'y aurait jamais de nous. Je voulais que tout cesse avant qu'il soit trop tard, avant que je souffre, avant qu'elle ne souffre. Mais j'étais incapable de dire stop, je ne pouvais imaginer vivre sans elle, alors que je me perdais dans ma vie...
Et puis il eu ce jours merveilleux, où les larmes aux yeux elle se laissa dépasser par ses envies, ses lèvres rencontrèrent les miennes et elle aima ça. Elle eu le coeur déchiré, elle trouvait ça mal, peut être que ça l'était. Je lui promis qu'il n'y aurait pas de répercussion, pas de lendemein que juste pour un soir, elle avait le droit de m'aimer sans que plus jamais je ne lui en parle. On s'embrassa encore et encore, ayant du mal à ne pas aller plus loin. Elle n'étais plus seule à pleurer.
Le lendemain, elle me demanda d'oublier alors qu'elle, elle en était incapable. "Nous ne sommes que des amies" me répétait elle, peut être pour se convaincre elle même.
Le temps s'écoula encore, et on devint très vite incapable de se passer de l'autre, les "nous ne sommes qu'amie"  cédèrent la place à des "je suis perdue, je ne sais pas ce que tu représentes pour moi" Elle ne savait pas ou ne voulait pas le savoir. Son regard changeait peu à peu, et bientôt moi je n'eu plus de doute quand à ses sentiments.
Aujour'hui, elle peut dire qu'on sort ensemble, elle m'envoie des mots doux et n'a pas honte de réclamer mes bras. Elle me dit qu'elle m'aime un peu plus chaque jours, mais à toujours de ne pas être assez bien pour moi. Pourtant mon coeur ne cesse de battre pour elle, et chaque séparation est une véritable torture.
Tout ceci est un secret, mais ça ne me gène pas, parce que comme ça je peux la garder rien que pour moi...

Je suis amoureuse, et même si c'est un pêché de l'aimer, je m'y plait...

Mercredi 14 avril 2010 à 23:37

http://elle.cowblog.fr/images/imgdelete.pngIl me regarde comme si j'étais encore un enfant, il ébouriffe mes cheveux avant que j'entre sur le terrain. Cela fait deux ans qu'il est mon entraineur de foot et j'ai l'impression de le connaitre depuis toujours. J'ai l'impression qu'il ne voit pas l'homme qui est en moi, qu'il ne voit que le petit garçon qui joue au foot.

Et voilà qu'il vient me parler comme si j'étais un homme. Il me parle de femme et me dit qu'à mon âge on devrait se faire éduquer par des femmes plus agées. Il me parle de sa première fois, et moi je l'écoute avec intérêt. J'ai l'impression qu'il me regarde différement, comme si l'impossible devenait possible et qu'il pouvait me désiré comme moi je le désire.

Il m'a demandé de rester entrainer les petits avec lui. Ce n'est pas un rendez vous, mais c'est déjà ça. Je passe plus de temps avec lui, et il me parle comme à un ami. Je ne sais pas si il me désire, j'aimerai le croire, mais il ne cesse de me parler de toute ces femmes qui se succèdent dans ses draps.

Aujourd'hui, je l'ai vu nu. Après notre entrainemment il a pris sa douche, et j'étais encore dans les vestiaires, je l'ai vu nu sans aucune pudeur face à moi. Je n'ai pas pu détourner le regard de son membre, je me suis senti défaillir. Il a vite remarqué mon indiscrétion, mais ne sait pas cacher pour autant, il m'a juste dit "tu regardes tout le monde comme ça". Je ne sais toujours pas si... Il faut que je sache. Demain, je lui demande.

Cela fait trois jours, et je ne lui ai encore rien demandé. Je suis lâche. Mais comment trouver les mots pour demander à votre entraineur si il veut bien vous dépuceler ! Je ne suis qu'une tarlouze, je ferais mieux de me pendre comme le cousin Kévin. Je n'ose rien tenter avec mon entraineur, et me mère commence à me poser des questions sur les filles. Tout mes amis ont des copines et pas moi. Elle ne comprend pas. Je ne comprend pas. Je les ragarde même pas les filles, elles ne me plaisent pas. Dans ma tête, il n'y a que lui. Je ne l'aime pas. Ce n'est que sexuel, je ne veux qu'une chose qu'il me touche avec ses mains d'homme.

Il est partie deux semaines voire une de ses amies, "c'est une vielle amie qui m'invite pour les vacances" Tu parles, cette salope veut seulment qu'il la tronche pendant deux semaines non stop, elle n'a plus son cota de baise. Il va la toucher, et moi toujours rien. Je dois me trouver une copine, mes potes me traite de PD, peut être qu'ils ont raison.

Demain, il revient. J'ai honte car pendant son absence je me suis trouvé une copine. J'ai l'impression de le trahir, surtout que demain je vais jouer à la console chez lui. Il m'a invité seul, il dit que je lui ai manqué. Est ce un rendez-vous ? Je ne vais pas lui parler de ma copine.

Je reviens de chez lui. J'ai pleuré comme une meuf toute la nuit. Je suis une tarlouze... A peine arriver chez lui, je lui balançais que j'avais une copine surement parce qu'il avait commencé par me dire qu'il s'était envoyé en l'air pendant deux semaines. Il a dit qu'il était heureux pour moi, et m'a demandé si je l'avais fait avec elle. Comme un con, je lui ai dit non, que je voulais d'abord qu'il me montre. On a pu quelques verres d'alcool, j'ai très vite eu la tête qui tourne. Je lui ai dit que je ne savais pas me servir de ma bite. Lui aussi était ébréché. Il a sorti sa queue, et s'est masturbé devant moi. Nerveux, j'ai fait tomber mon verre sous la table. Je me suis penché pour le ramasser et je suis tombé nez à nez avec son membre. Sans prendre en compte ce que je faisais, je le mis dans ma bouche. Lui non plus ne l'avait pas réalisé et il se laissa faire, enfin au début. Puis il m'attrapa par la cou en m'insultant de tout les noms, il me donna une droite qui m'envoya directe au sol. Mais il ne comptait pas en rester là. Il s'énerva de plus en plus en cirant dessus, il m'ordonna de baisser mon froque et sans prévenir il m'enfonssa sa bite dans le cul. J'ai hurlé de douleur, alors qu'il continuer de m'enculer. Au bout de quelques minutes je sentis son sperme en moi. Il se retira, me fixa, alors que je pleurais, puis il me tabassa... Ma mère pleure, et voudrais savoir ce qui se passe, mais je suis incapable de lui dire que son fils est un sodomite.

Cela fait plusieurs mois que je n'ai pas écris dans mon journal. Je ne fais plus de foot et mon entraineur s'est fait arrêter pour m'avoir frappé. J'ai avoué à ma mère que j'aimais les hommes, elle a beaucoup de mal à l'accepter mais me répète sans cesse que je serais toujours son fils et qu'elle m'aime. Demain, j'ai rendez-vous avec un mec de mon lycée, c'est un rencard, mon premier, mais tout doit être secret, parce qu'on risque de se faire tabasser. On s'est rencontré dans un groupe de paroles des Homos tabassés à cause de leurs préférences sexuelles. J'espère que ça marchera entre nous...

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