Elle avait peur de sembler faible, fragile. elle avait peur que je pense que c'est une chochote... Elle n'a pas de chance, souvent des soucis, elle m'a moi... Je m'inquiète pour elle, de sa santé, de son stress, je lui en demande souvent trop, je le sais... Mais elle est forte, c'est la plus forte. Elle me porte à bout de bras, elle me garde debout malgrés le poids de mes souffrances...
Je ne la trouve pas faible, loin de là, biensûr que j'ai envie de la protèger, de la caliner, de la consoler. Mais c'est parce que je l'aime, et je veux que tout soit toujours au mieux, je veux pouvoir lui apporter tous ce qu'elle mérite, je veux qu'avec moi elle se sente mieux. Je n'ai pas envie qu'elle est juste besoin de moi, je veux qu'elle ai envie de mes bras...
Alors non, ce n'est pas une chochote, c'est une femme forte, une femme forte avec un sal caractère, parce que je les connais ses caprices de petite fille, ses caprices de femme, je sais qu'elle peut être cruelle, mais au fond elle est si tendre, et on lui a fait tellement de mal qu'elle se doit de se protèger. Je sais qu'elle a peur, des fois, peur que je lui fasse du mal, peur que je parte, peur qu'ils apprennent. Mais finalement, elle sait faire face.
Elle veille sur moi constament, elle écoute mes pleurs, me console. Elle a su m'apprivoiser, apprendre de mes blessures. Elle est patiente, elle exige de moi le meilleur et attend que je sois capable de lui fournir. Elle prend le temps de m'aimer, de se mettre en danger, elle sait que tout ne sera jamais normal, que le danger est constant, mais elle reste, elle garde confiance en moi... Alors c'est peut être moi la chochote ?
"Tu es double." Voilà ce qu'elle m'a dit : "Tu es double".
Tu es double. Je suis double ?
Je ne sais pas ce que ça veut dire, sa seule explication fut pris en dérision du corps calleux...
Je suis double. Cette expression peut avoir tellement de sens, encore plus quand il s'agit de moi...
Je suis double. Restons sur cette suggestion et continuons d'avancer, peut être qu'elle me dira...
Je ne la trouve pas faible, loin de là, biensûr que j'ai envie de la protèger, de la caliner, de la consoler. Mais c'est parce que je l'aime, et je veux que tout soit toujours au mieux, je veux pouvoir lui apporter tous ce qu'elle mérite, je veux qu'avec moi elle se sente mieux. Je n'ai pas envie qu'elle est juste besoin de moi, je veux qu'elle ai envie de mes bras...
Alors non, ce n'est pas une chochote, c'est une femme forte, une femme forte avec un sal caractère, parce que je les connais ses caprices de petite fille, ses caprices de femme, je sais qu'elle peut être cruelle, mais au fond elle est si tendre, et on lui a fait tellement de mal qu'elle se doit de se protèger. Je sais qu'elle a peur, des fois, peur que je lui fasse du mal, peur que je parte, peur qu'ils apprennent. Mais finalement, elle sait faire face.
Elle veille sur moi constament, elle écoute mes pleurs, me console. Elle a su m'apprivoiser, apprendre de mes blessures. Elle est patiente, elle exige de moi le meilleur et attend que je sois capable de lui fournir. Elle prend le temps de m'aimer, de se mettre en danger, elle sait que tout ne sera jamais normal, que le danger est constant, mais elle reste, elle garde confiance en moi... Alors c'est peut être moi la chochote ?
"Tu es double." Voilà ce qu'elle m'a dit : "Tu es double".
Tu es double. Je suis double ?
Je ne sais pas ce que ça veut dire, sa seule explication fut pris en dérision du corps calleux...
Je suis double. Cette expression peut avoir tellement de sens, encore plus quand il s'agit de moi...
Je suis double. Restons sur cette suggestion et continuons d'avancer, peut être qu'elle me dira...
