Je la regarde. Mes lèvres se posent sur sa peau sans aucune contreverse, aucun subtext. Elles ne veulent rien murmurer, elles rendent juste le suplice un peu moins dur. Je ne voulais plus y croire, je voulais oublier...
Tes lèvres interdites m'obsèdent. Je sais que tu ne partages pas mon désir. Je sais que tout cela est mal, mais je le veux quand même. Ne t'inquiète pas, je garde en mémoire l'absence de tes sentiments.
Lorsque tes lèvres attrapent les miennes, mon coeur se saisit, il ne veut pas croire à ce mensonge, mais mon corps lui y croit.
Tes baisers ont le goût sucré. Ma tête et mon coeur ne se laissent pas berner. Ils s'y refusent, mais mon corps n'écoute pas leur cries et il se laisse enivrer par tes caresses.
Plus on se dit que c'est mal, plus tes lèvres me frôlent, plus tes caresses m'embrassent. Je ne veux pas me l'interdire, je ne veux pas te l'interdire...
Ton corps se réchauffe, je sent l'illusion de ton amour incindier ma peau. Mon coeur hésite, il sent le sang bouillr en moi. Il sait que ta peau est un pêché auquel je dois me refuser, mais il a peur de lâcher et finit par céder.
Ma tête résiste encore, elle grogne et ne veut toujours pas croire en ton désir. Pourtant tes baisers se font plus précis, tes caresses plus osées.
Je ne veux rien perdre de ces instants, mon corps appel le tien, ton étreinte le fait trembler. Je le sent s'oublier, se laisser aller à son plaisir.
Ma tête se laisse faire, mais hurle que demain je n'aurai que des regrets quand tes lèvres avoueront que de l'amour pour moi tu n'en as pas.
Mon corps et mon coeur font la sourde oreille, car ils préfèrent profiter de cet instant où le mensonge est trop bon et le plaisir ancré dans mon âme.
Blotti contre toi, mon coeur, mon corps se taisent. Ma tête continue de murmurer, mais le silence la prend lorsque tes lèvres soufflent : "peut être que je t'aime..."
Peut être qu'il n'y a pas de mensonge, peut être que la vérité est seulement trop dure à prendre nue...
Tes lèvres interdites m'obsèdent. Je sais que tu ne partages pas mon désir. Je sais que tout cela est mal, mais je le veux quand même. Ne t'inquiète pas, je garde en mémoire l'absence de tes sentiments.
Lorsque tes lèvres attrapent les miennes, mon coeur se saisit, il ne veut pas croire à ce mensonge, mais mon corps lui y croit.
Tes baisers ont le goût sucré. Ma tête et mon coeur ne se laissent pas berner. Ils s'y refusent, mais mon corps n'écoute pas leur cries et il se laisse enivrer par tes caresses.
Plus on se dit que c'est mal, plus tes lèvres me frôlent, plus tes caresses m'embrassent. Je ne veux pas me l'interdire, je ne veux pas te l'interdire...
Ton corps se réchauffe, je sent l'illusion de ton amour incindier ma peau. Mon coeur hésite, il sent le sang bouillr en moi. Il sait que ta peau est un pêché auquel je dois me refuser, mais il a peur de lâcher et finit par céder.
Ma tête résiste encore, elle grogne et ne veut toujours pas croire en ton désir. Pourtant tes baisers se font plus précis, tes caresses plus osées.
Je ne veux rien perdre de ces instants, mon corps appel le tien, ton étreinte le fait trembler. Je le sent s'oublier, se laisser aller à son plaisir.
Ma tête se laisse faire, mais hurle que demain je n'aurai que des regrets quand tes lèvres avoueront que de l'amour pour moi tu n'en as pas.
Mon corps et mon coeur font la sourde oreille, car ils préfèrent profiter de cet instant où le mensonge est trop bon et le plaisir ancré dans mon âme.
Blotti contre toi, mon coeur, mon corps se taisent. Ma tête continue de murmurer, mais le silence la prend lorsque tes lèvres soufflent : "peut être que je t'aime..."
Peut être qu'il n'y a pas de mensonge, peut être que la vérité est seulement trop dure à prendre nue...