Le temps cours, je reste paralysé, aveuglé par la bonheur que je peux frôler du bout de mes doigts.
C'est à mon tours, je dois avancer, traverser la pénombre qui nous sépare, marcher droit.
C'est l'amour, peut être, il t'anime, te rend fébrile, tu restes là, serrer tout contre moi.
Ne reste pas, va-t-en, ne me montre pas tes larmes.
Je sent ton coeur sous ta poitrine comme une épine contre ma peau.
Le temps s'enfuit, enlacé à ton corps, je ne céde pas devant le vent de nos regrets.
Tu t'ennuies, je sent ton coeur se désinterresser, oublier que pour nous deux il bat.
Ma peau se plit, tu t'agites, te débats, tu veux t'enfuir, repousser mes bras.
Ne reste pas, va-t-en, ne me montre pas tes larmes.
Je sent ton coeur sous ta poitrine comme une épine contre ma peau.
Lundi 3 mai 2010 à 11:04
La Page
Par Y.Nos.Extendemos le Lundi 3 mai 2010 à 11:57
Oh héey j'ai réussi, merci beaucoup =D
Par Vendredi 22 juillet 2016 à 4:59
le Une nouvelle vie sans démons à combattre, sans délires illusoires.
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