Vendredi 26 novembre 2010 à 13:59

L'accusation est trop lourde...


... Je n'ai pas préparer de plaidoyé...

... J'irai au bûcher.



Jeudi 25 novembre 2010 à 13:07

Un jour quelqu'un a dit :
"...http://elle.cowblog.fr/images/P1050917.jpg
Ecrire, c’est comme composer une musique, trouver les notes qui sonnent, celles qui s’accordent…
Ecrire, c’est se sentir vivre, se savoir naître, disparaître pour n’être plus que des mots sur une feuille blanche, le sang qui coule de mes veines…
Ecrire, c’est mourir, et renaître parfois, mais continuer à la garder, la foi, c’est trembler devant l’absurde, c’est y croire toujours plus, toujours mieux…
Ecrire, c’est aimer, comme si c’était la première fois, comme si plus jamais on aimera, comme si c’était la dernière fois, c’est dire je t’aime avec la naïveté d’un enfant, avec le cœur tremblant sous un rythme effréné…
Ecrire, c’est haïr, renoncer au mot « toujours », sans jamais arrêter d’y penser, sans jamais cesser de l’imaginer, c’est perdre pied dans le réelle et haïr tout ce qui s’y trouve, l’imaginer de nouveau et redessiner ce monde de haine pour l’aimer encore plus…
Ecrire, c’est t’aimer chaque jour un peu plus, chaque jour plus fort, c’est te murmurer tout l’amour qui hurle dans mon cœur, te révéler ce qui se trouve dans mon âme, t’avouer sans que tu puisses l’entendre que mon univers c’est toi…
Ecrire, c’est toi, ici, ailleurs, à jamais, pour toujours, le tout, le rien, l’absence du tout qui n’est tellement rien…
Ecrire, c’est toi, ici, ailleurs, à jamais, pour toujours…
Ecrire, c’est toi, ici, ailleurs, à jamais, pour toujours…
..."

Jeudi 25 novembre 2010 à 12:12

Hier. Assise sur une chaise pendant trois quarts d'heure, face à un bureau manquant toujours trop de vie. Elle me demande de parler. J'en profite, ma tête est vide, E. est partie "en vacances". Elle ne veut pas entendre ça.
Je parle redoutant la déchirure de mon coeur.
 
"Votre père semble beaucoup tenir à vous."

Dans ma tête je pense sale gros porc, et de la tête je fais "oui".
 

http://elle.cowblog.fr/images/P1050959.jpg


Les mots sont trop lourds, ils ne veulent pas sortir, ils préfèrent rester au chaud dans ma gorge qui se resserre.

Il y a tant de chose à dire, il ne faudrait plus rien taire, mais les mots... Les mots.
Les mots ne sont rien face à toutes le ténèbres dans mon coeur, face à la pourriture qui consume mon corps. Si je le dis tout sera plus vrai, tout sera vrai, et tout le monde pourra voir le monstre que je suis, l'atrocité de mon être...

J'ai peur...
Je préfère rester enfermer dans ma tête...

Dimanche 21 novembre 2010 à 16:40

C'est ça l'enfer... ici... Parce que on voit le bonheur juste là, devant nous. Il est à porter de main, on le touche, on l'étreint, on le respire... Et puis tout à coup, sans de réelle raison, on nous l'arrache, on nous l'enlève, il disparait, et il ne nous reste plus qu'un tendre souvenir qui nous est insupporrtable...
C'est surement ça l'enfer...

Samedi 20 novembre 2010 à 8:18

Depuis 5h ce matin, je tourne et détourne dans mon lit, impossible de retrouver le sommeil. Pourtant tu es là, à porter de bras, mais je n'ose pas te toucher, te réveiller. A 7h, je me suis levé, le corps endolori, je ne pourrais pas me rendormir, j'ai trop mal. Toi, tu dors paisiblement, je ne préfère pas te déranger. Bientôt 8h30, il fait jour dehors, je n'ai même pas vu le soleil se lever. Je vais surement retourner me coucher, et toi tu ne serras même pas que je n'étais pas dans tes draps...

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