Mardi 21 septembre 2010 à 10:55

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Jeudi 16 septembre 2010 à 12:22

J'aime lorsque tu cherches mon étreinte.
J'aime lorsque tes doigts s'enroulent autour des miens.
J'aime quand ta peau réclame la mienne.
J'aime quand ta bouche cherche mes lèvres.
J'aime lorsque ton corps appel le mien.

J'aime la forme de ta bouche.
J'aime tes courbes généreuses.
J'aime tes petits seins.
J'aime ton dos.
J'aime tes cheveux.
J'aime tes petits yeux.

J'aime que tu me dises que tu m'aimes.
J'aime quand la nuit tu laisses ta main échouer sur mon corps.
J'aime quand tu te trouve folle de m'aimer autant.
J'aime quand tu me serres dans tes bras.

...J'aime t'aimer...

Lundi 6 septembre 2010 à 14:00

http://elle.cowblog.fr/images/imgdelete.png
Je sent encore ton corps contre le mien. Je sent ta chaleur, ton parfum devenant tout à coup si puissant. Je ressent chacun de tes mouvements, chacune de tes caresses comme si tout recommençait.
J'entend le léger son s'extirpant de tes lèvres entrouvertes. Elles attrapent les miennes pour taire ce sentiment de plaisir qui semble tout à coup prendre part de ton corps.
J'emprisonne ton corps tremblant dans mon étreinte. J'ai l'impression de t'avoir trahit...
Je sais, Je le sent encore que tu le voulais et pourtant j'ai l'impression de t'avoir pris ce que je ne méritais pas...

Samedi 4 septembre 2010 à 15:20

http://elle.cowblog.fr/images/IMG3701.jpg
Tu ne voulais pas de moi.
J'étais comme un ancre te permettant de tenir  bon sans révéler tes faiblesses.
Par erreur, tu as appris à m'aimer.
Tu as voulu me garder comme un secret sans jamais y toucher.
Mais je ne pouvais pas rester ainsi, attendre sans espoir qu'un jour...

Tu as du faire face à tes lèvres sur les miennes.
Tu ne pouvais plus repousser mes bras, mes caresses.
Tu ne pouvais plus résister à l'appel de mon désir...

Tu as oublié, tout laisser aux souvenirs comme une erreur à effacer.
Mais tu l'as bien fait.
Ton corps à heurter le mien dicté par la seule passion de tes sentiments silencieux.
Tu ne pouvais pas oublier ton corps appelant le mien, mes lèvres réchauffant ton coeur glacé...

Tes lèvres sur les miennes comme un secret garder dans cette chambre trop étroite pour laisser respirer nos sentiments.
Tu étouffes sous le poids de ce secret précieu.
Tu t'endors dans mes bras, coucher sur notre amour, et c'est le monde autour que tu oublies...

 

Samedi 4 septembre 2010 à 14:57

http://elle.cowblog.fr/images/IMG3668.jpgJe la regarde. Mes lèvres se posent sur sa peau sans aucune contreverse, aucun subtext. Elles ne veulent rien murmurer, elles rendent juste le suplice un peu moins dur. Je ne voulais plus y croire, je voulais oublier...
Tes lèvres interdites m'obsèdent. Je sais que tu ne partages pas mon désir. Je sais que tout cela est mal, mais je le veux quand même. Ne t'inquiète pas, je garde en mémoire l'absence de tes sentiments.
Lorsque tes lèvres attrapent les miennes, mon coeur se saisit, il ne veut pas croire à ce mensonge, mais mon corps lui y croit.
Tes baisers ont le goût sucré. Ma tête et mon coeur ne se laissent pas berner. Ils s'y refusent, mais mon corps n'écoute pas leur cries et il se laisse enivrer par tes caresses.
Plus on se dit que c'est mal, plus tes lèvres me frôlent, plus tes caresses m'embrassent. Je ne veux pas me l'interdire, je ne veux pas te l'interdire...
Ton corps se réchauffe, je sent l'illusion de ton amour incindier ma peau. Mon coeur hésite, il sent le sang bouillr en moi. Il sait que ta peau est un pêché auquel je dois me refuser, mais il a peur de lâcher et finit par céder.
Ma tête résiste encore, elle grogne et ne veut toujours pas croire en ton désir. Pourtant tes baisers se font plus précis, tes caresses plus osées.
Je ne veux rien perdre de ces instants, mon corps appel le tien, ton étreinte le fait trembler. Je le sent s'oublier, se laisser aller à son plaisir.
Ma tête se laisse faire, mais hurle que demain je n'aurai que des regrets quand tes lèvres avoueront que de l'amour pour moi tu n'en as pas.
Mon corps et mon coeur font la sourde oreille, car ils préfèrent profiter de cet instant où le mensonge est trop bon et le plaisir ancré dans mon âme.
Blotti contre toi, mon coeur, mon corps se taisent. Ma tête continue de murmurer, mais le silence la prend lorsque tes lèvres soufflent : "peut être que je t'aime..."
Peut être qu'il n'y a pas de mensonge, peut être que la vérité est seulement trop dure à prendre nue...

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